Le cas humain de Darya Embarek Selma, séquestrée dans les camps de Tindouf, au sud-ouest de l’Algérie, par ses parents biologiques avec la bénédiction et le concours des milices du polisario, est “emblématique du calvaire qu’endurent les populations séquestrées dans ces camps”, a déclaré à la MAP, Jordan Paul, un expert américain spécialiste de la région.

Les partis de l'Union Socialiste des Forces Populaires (USFP), de l'Istiqlal (PI), Authenticité et Modernité (PAM) et de l'Union Constitutionnelle (UC) ont lancé, mercredi à Rabat, une initiative nationale pour la mise en œuvre de l'autonomie dans les provinces du sud du Royaume.

Après l’affaire de la jeune Mahjouba Mohamed Hamdidaf, qui a déclenché une grande mobilisation internationale obligeant le +Polisario+ à la libérer après 90 jours de séquestration, un autre cas vient d'éclater dans les camps de la honte à Tindouf, sur le territoire algérien, éclaboussant la junte de Rabouni et mettant à nu les allégations des associations qui prétendent défendre les droits de l’homme, surtout en Espagne.

Sigfrido Reyes, président de l'Assemblée Nationale de la République du Salvador, a exprimé la volonté de son pays à "soutenir la thèse marocaine, pour rétablir la paix dans la région et parvenir à une solution de la question du Sahara sur la base de la proposition d'autonomie."

En soutenant la thèse des séparatistes du Polisario, l’Algérie, partie prenante dans le conflit du Sahara, "joue sciemment avec le feu", appuyée par des lobbies à l’ONU et des ONG occidentales, mal informées des réalités locales, écrit la revue française "Valeurs actuelles" dans sa dernière livraison.