Le Président de l'Union des Comores, M. Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, a réitéré, jeudi devant l'Assemblée générale des Nations unies, le soutien de son pays à l'intégrité territoriale du Maroc. "A notre pays frère, le Royaume du Maroc, je voudrais renouveler notre soutien à sa lutte légitime en vue de recouvrer son intégrité territoriale", a affirmé le chef de l'Etat comorien. Le Maroc a présenté à l'ONU, en avril dernier, une initiative pour la négociation d'un statut d'autonomie de la région du Sahara, fruit d'un large processus de consultations

Le chef du gouvernement espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero, a affirmé mardi que son pays adopte "une approche constructive" pour la recherche d'une solution à la question du Sahara, laquelle "passe par un accord politique" entre le Maroc et le Polisario. "L'Espagne adopte une position constructive et une approche pour contribuer à une issue satisfaisante" de cette question, a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse au siège de l'ONU à New York, en marge du débat annuel de l'Assemblée générale. Au journaliste qui lui demandait s'il

Mme Gajmoula Ebbi, députée, membre du Conseil Royal Consultatif pour les Affaires Sahariennes (CORCAS), M. Bellali Brahim Ouled Souih, Rapporteur de la Commission des droits de l'Homme du CORCAS et M. Sidati Ghallaoui, ex-ambassadeur du Polisario à Rome, en Grèce et au Vatican ont tenu mardi au Palais des Nations unies à Genève, une conférence de presse au cours de laquelle ils ont apporté un éclairage sur les différents aspects de la question du Sahara et sur le projet d'autonomie proposé par le Maroc.

L'Ambassadeur, Représentant Permanent de la Mission du Royaume du Maroc auprès de l'Office des Nations Unies à Genève, M. Mohamed Loulichki a dénoncé les contrevérités et les distorsions de la réalité dans les provinces du Sud présentées, lundi après-midi lors du débat général du Conseil des droits de l'homme (CDH), par des orateurs qui se sont rendus à Genève avec des passeports marocains et qui se plaignent paradoxalement d'entraves à la liberté de circuler.

Le drame de la population séquestrée depuis plus de trente ans dans les camps de Tindouf, victime des violations continues des droits de l'homme commises par le Polisario, "nécessite une attention particulière du Conseil des Droits de l'Homme", a souligné lundi à Genève Mme Saadani Maoulainine. Intervenant au nom de l'Union de l'Action Féminine (UAF) devant la sixième session du Conseil, elle a attiré l'attention notamment sur la situation des femmes et des enfants qui subissent quotidiennement les pires sévisses et sont