dimanche 28 avril 2024  
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Le Polisario, aidé de diplomates algériens, a subit un échec retentissant en organisant  ce jeudi à Bruxelles une réunion sur les droits des femmes sahraouies pour dénoncer les présumés pratiques marocaines au Sahara. Un échec dû au fait que cette manifestation n’a eu aucun écho auprès des eurodéputés.

Les deux activistes séparatistes, ayant animée cette nouvelle mascarade algérienne, ont présenté à l’assistance une vision fallacieuse et tendancieuse de la vie des sahraouis dans la région du Sahara, au sud du Royaume du Maroc. 

Au lieu de mentionner l’isolement et l’encerclement que subissent les populations vivant dans les campements de Tindouf, dont elles sont originaires, elles ont mentionné de prétendues souffrances et exactions qui ne reflètent en rien la dynamique d’ouverture, de progrès et de sérénité dont jouit la communauté de la région du Sahara. 

L’assistance était composée majoritairement de partisans des thèses séparatistes avec à leur tête la députée espagnole Paloma Lopez Bermejo de la gauche radicale espagnole. Cette dernière ne semble pas avoir pris note des conclusions de l’Avocat Général de la Cour Européenne de Justice. En effet, celui-ci a confirmé dernièrement que le Front Polisario n’a nullement le droit de parler au nom de la communauté de la région du Sahara.

Il faut noter que cette réunion a été organisée sous l’égide du groupement GUE/NGL du Parlement Européen. Ce groupement est bien connu pour ses positions hostiles au Royaume du Maroc et à son intégrité territoriale.      
     
- Actualité concernant la question du Sahara occidental/Corcas-

 

   
  
 

 
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