Le Royaume du Maroc accueille avec satisfaction la nomination par le Secrétaire général des Nations Unies, de M. Christopher Ross, comme son Envoyé personnel pour le Sahara marocain.

Le dernier rapport de l'ONG internationale Human Rights Watch (HRW) consacré au Sahara est sélectif et passe sous silence le cas des enfants des camps de Tindouf expatriés à Cuba et celui des Marocains expulsés d'Algérie, a estimé le directeur de Management Systems International pour le Maroc, une entreprise de conseil américaine.

Une femme des camps de Tindouf a décidé de s'établir à Dakhla où elle était venue en visite avec ses deux enfants, en provenance des camps de Tindouf (sud-ouest algérien) dans le cadre du 1er voyage de l'opération d'échange de visites familiales au titre de l'année 2009, préférant ainsi mettre un terme aux souffrances qu'elle endurait dans les camps, en choisissant volontairement de ne plus y retourner vivre.

 Le plan d'autonomie présenté par le Maroc vise à "favoriser l'émergence d'un compromis" au Sahara, a réitéré M. Taib Fassi-Fihri, déplorant qu'en dépit des efforts du Royaume, qualifiés de "crédibles et sérieux" par la communauté internationale et le Conseil de sécurité, l'Algérie et le "polisario" n'ont jamais exprimé "la même volonté d'ouverture et de réalisme".

M. Christopher Ross, diplomate américain au parcours exceptionnel, nommé par M. Ban Ki-Moon, au poste  d’Envoyé personnel pour le Sahara, " travaillera avec les parties et les pays voisins sur la base de la résolution la plus récente du Conseil de sécurité 1813".